Renee Rose Romance

Claimed by Love

  • HOME
  • ABOUT
  • SPECIAL EDITIONS
  • SHOP BY SERIES
  • SIGNED BOOKS
  • PAPERBACKS
  • TRANSLATIONS
    • DEUTSCH
    • FRANÇAIS
    • ITALIANO
  • MERCH
  • WRITE TO RICHES

Le piercing de Lamira (scène supprimée)

Zander et Daneth le savaient depuis quatre rotations planétaires. Il ne voulait rien dire à Lamira. Il fallait qu’elle le découvre par elle-même, c’était son corps après tout. Et si elle voulait savoir, elle lui demanderait.

Mais depuis qu’il avait vu le taux d’hormones augmenter, son envie de la marquer était devenue une véritable obsession. Il avait soigneusement choisi les plus beaux cristaux et les avait fait monter sur du platine. Daneth avait proposé de s’occuper du piercing, mais il ne voulait pas qu’un autre homme la touche, alors il avait étudié comment le faire lui-même.

La porte de la salle de bain s’ouvrit et Lamira apparut, fraîchement lavée et magnifiquement nue.

— Viens, petite esclave, dit-il en lui tendant la main.

Elle la prit et il la conduisit sur le disque de couchage.

— Mets-toi à genoux, là, dit-il en faisant signe vers le disque de couchage avec son menton.

Lamira se laissa guider par sa main alors qu’il la positionnait, à genoux, face à lui.

— Écarte bien les genoux, indiqua-t-il.

Elle ouvrit les cuisses.

Il prit son pubis dans le creux de sa main et glissa un doigt sur sa fente humide.

— Tu es toujours si mouillée pour moi, grogna-t-il avec approbation. Mets tes mains sur ta tête.

Elle entrelaça ses doigts sur sa tête, soulevant et écartant ses seins parfaits.

Il prit un de ses tétons en bouche, en suçant fort.

Elle gémit.

Il effleura le bout de son téton érigé avec ses dents.

— Aujourd’hui, je vais t’orner comme ma compagne.

Elle fut traversée par un frisson et quand il releva la tête, ses yeux étaient bordés de larmes. Il écarta des mèches de cheveux de son visage.

— Es-tu… contrariée ?

Il ne savait toujours pas comment interpréter ses émotions. Si seulement son brassard pouvait lui indiquer exactement ce qu’elle ressentait et pourquoi, à chaque instant.

Son léger rire lui réchauffa la poitrine.

— Non. Parfois, je pleure de joie.

— Un jour, je comprendrai toutes tes charmantes complexités. En attendant, tu apprendras à être directe et honnête avec moi, dit-il en lui caressant la mâchoire. Déconcerter ton maître sera un délit passible de punition.

Un autre tremblement la traversa. Cette partie, au moins, il l’avait comprise. La punition et la domination la mettaient dans tous ses états. Il posa à nouveau ses doigts sur sa chatte et la caressa lentement. Quand ses cuisses commencèrent à trembler et qu’elle commença à haleter, il arrêta.

Daneth lui avait fourni un spray anesthésiant. Il l’appliqua sur ses tétons et son nombril.

— Tu veux que je te perce les oreilles ou le visage ?

Elle lécha ses lèvres couleur baie.

— Commençons… ah… par ça.

Il prit le pistolet et y inséra le premier piercing.

— Je veux que tu restes très immobile pour moi.

Elle déglutit, ses doigts glissant de sur sa tête. Elle jeta un coup d’œil au plafond où étaient suspendus l’anneau et les sangles.

— Faut-il que je t’attache ? Est-ce que ça faciliterait les choses ? demanda-t-il.

Elle lécha ses lèvres à nouveau.

— Oui, s’il te plaît, répondit-elle.

Il sourit et il attacha ses menottes, puis il fit passer la sangle du plafond à travers les anneaux, en tirant ses bras vers le haut jusqu’à ce qu’elle se retrouve à moitié suspendue.

— Ça va, comme ça ?

Sa tête vacilla sur son cou, un mélange de hochement de tête et de secousse.

Pensant la distraire de sa nervosité, il glissa à nouveau un doigt sur sa fente. Elle était devenue sèche. Apparemment, être percée par son amant ne faisait pas partie des actes de domination qui lui faisaient plaisir. Dommage, car de nombreux Zandiens trouvaient le rituel d’ornement très érotique.

Il passa un bras autour de sa taille et l’attira contre son corps, traçant un léger huit sur son dos.

— As-tu peur ? Est-ce que tu veux que j’appelle Daneth pour qu’il le fasse à ma place ?

Elle secoua la tête rapidement.

— Tu me fais confiance, petite esclave ? Tu sais que je ne te ferais jamais de mal, n’est-ce-pas ?

Elle acquiesça contre son torse.

— Alors sois une gentille fille et accepte mon marquage, dit-il d’un ton plus autoritaire.

Quelque chose en elle se détendit. Son visage semblait toujours fermé, mais son contact avec lui s’adoucit.

Il se déplaça à côté d’elle et donna plusieurs fessées sur son cul nu.

Son taux d’excitation grimpa de dix à quarante pour cent. Bien, il était de nouveau sur la bonne voie. Peut-être que tout ce qu’il lui fallait pour calmer sa nervosité était une bonne fessée.

Il détacha ses poignets de la sangle du plafond et s’assit sur le disque de couchage, la plaçant en travers de ses cuisses. Il aurait dû commencer par ça. La tenir près de lui, connectée à son corps, facilement maîtrisée.

Elle se laissa faire sans protester, semblant savoir elle aussi qu’elle avait besoin d’une fessée.

Il passa sa main sur ses fesses juvéniles et admira la légère teinte rosée que les quelques fessées précédentes avaient laissé sur sa peau dorée.

— Ton cul est parfait, petite esclave, dit-il, puis il gifla une fesse. Je pourrais passer la journée à le regarder.

Il gifla l’autre fesse, puis il les caressa pour calmer la douleur.

— Et j’aime lui donner la fessée, presque autant que tu aimes être punie, ajouta-t-il.

— C’est faux, protesta-t-elle.

— Menteuse.

Il serra sa taille avec son bras et lui donna une fessée rapide et brutale, aimant la façon dont elle roulait et se tortillait sur ses genoux, ainsi que les halètements sexy qui s’échappaient de sa bouche. Il continua à lui donner la fessée, en regardant son taux d’excitation grimper à quatre-vingt-dix pour cent. Ses fesses brillaient d’un rose vif. Il les caressa et la souleva pour la mettre debout.

— Couches-toi sur le dos, bras et cuisses écartées.

Ses yeux avaient pris l’aspect vitreux de la reddition : pupilles dilatées et paupières lourdes. Elle rampa jusqu’au milieu du lit et prit la position qu’il avait décrite. Il clipsa ses menottes aux dispositifs de retenue installés autour du disque de couchage et il les fit se tendre. Lui demander de rester immobile sur ses genoux avait été trop difficile. De cette façon, elle ne pourrait pas bouger, même si elle devenait nerveuse.

Elle cligna des yeux. Elle continuait à haleter. Son ventre sursauta lorsqu’elle le vit ramasser le pistolet.

Il lui pinça le téton.

— Est-ce que tu sens ça ?

Elle secoua la tête.

— Bien, dit-il.

Elle tressaillit quand il pinça la chair de son nombril, mais il agit vite, en actionnant le matériel incurvé rapidement à travers et en le recouvrant d’un bijou étincelant couleur arc-en-ciel.

— Des douleurs ? s’enquit-il.

Elle lécha ses lèvres.

— Non, mon seigneur.

Il sourit et posa son pouce sur son clitoris, en effectuant plusieurs cercles.

Elle frémit et trembla sous ses doigts, émettant des sons incontrôlés.

Après avoir rechargé le pistolet, il perça son téton gauche.

Lamira poussa un cri.

Il se figea, craignant de lui avoir fait mal.

Sa tête était en arrière, ses seins ballotaient, son ventre et ses cuisses tremblaient, et ses hanches se soulevaient et redescendaient.

Non… elle n’était pas blessée. Elle était en plein orgasme.

Il rechargea le pistolet et s’empressa de percer son téton droit.

Elle gémit, faisant tressauter ses hanches. De toute évidence, l’orgasme continuait.

Il l’observa, fasciné, alors qu’elle tremblait et tirait sur ses attaches.

— Zander, croassa-t-elle, encore en train de se débattre.

Elle haletait.

Il fixa deux des cristaux zandiens les plus clairs et les plus précieux sur ses tétons, puis il traîna ses doigts entre ses seins et le long de son ventre.

— Regarde-toi, murmura-t-il.

Rien n’était plus beau dans la galaxie que la petite esclave humaine en train de jouir sur son disque de couchage.

Il écarta ses lèvres et s’installa entre ses cuisses, faisant claquer sa langue contre son clitoris. « Relâcher menottes ».

Ses mains s’agrippèrent à sa tête, saisissant ses cheveux et l’attirant vers elle.

Il suça son bouton gonflé en même temps qu’il lui enfonçait deux doigts à l’intérieur. Ses muscles internes étaient encore en train de se contracter et ils serrèrent ses doigts. Incapable de se retenir, il grimpa sur elle, baissa son pantalon et la transperça avec sa bite.

— Zander, par les étoiles… !

Les parois de son canal étroit s’agrippèrent à son membre.

Il se mit à effectuer des va-et-vient.

— Plus fort, dit-elle en haletant, comme si elle n’était pas déjà en train de jouir.

Il s’enfonça en elle, lui donna des coups de reins brutaux, la prenant avec une force et une intensité à laquelle il ne s’attendait pas.

Elle hurla, griffant ses épaules. Sa chatte se resserra si fort qu’il perdit tout contrôle et jouit, alors qu’il venait à peine de commencer.

Il rit, continuant ses va-et-vient. Il posa ses lèvres sur son cou et il la suça et la grignota jusqu’à ce que, enfin, elle s’effondre sous lui, haletante.

— Zander… soupira-t-elle en l’entourant de ses bras.

Il ouvrit les menottes de ses chevilles et la prit dans ses bras.

— Oh !

Son regard était flou, comme si elle regardait un hologramme juste derrière lui.

— Tu le sais déjà, lâcha-t-elle.

Bien sûr, il savait ce qu’elle voulait dire.

— Ça me semblait mal de le savoir avant toi, bredouilla-t-il pour s’excuser.

Il avait hésité longuement, se demandant s’il devait le lui dire ou non, mais il avait finalement décidé qu’il valait mieux qu’elle le ressente ou qu’elle le découvre par elle-même.

— J’aurais préféré que tu m’annonces la bonne nouvelle.

Elle lui serra la nuque, la mouillant de ses larmes.

— Ce sont des larmes de joie ? demanda-t-il en se décollant d’elle.

Elle hocha la tête.

— Oui, renifla-t-elle. Je suis tellement heureuse. Mais tu aurais dû me le dire.

Sa main glissa sur son ventre avec émerveillement.

— Daneth a un équipement… au cas où tu voudrais le voir ?

Elle secoua la tête, des larmes fraîches scintillant dans ses beaux yeux verts.

— Pas besoin. Tes cristaux… Je peux voir tellement de choses.

L’émerveillement s’empara de ses mots et son regard se perdit dans le vague à nouveau.

— Que vois-tu ? murmura-t-il, la révérence du moment étant démultipliée.

Sa femme était spéciale. La femme la plus parfaite de la galaxie, celle qui lui était destinée.

Elle rit et secoua la tête.

— Tellement de choses… tout est mélangé. Je ne sais pas.

Son doigt caressa l’arête de son nez.

— Tu es mon plus grand trésor… plus sanctifié encore que ces cristaux, dit-il, puis il titilla le bijou brillant sur son téton. J’ai été tellement idiot de ne pas voir à quel point tu étais spéciale. Je le ressentais, mon corps le savait, mais mon cerveau…

Il secoua la tête en pensant qu’il l’avait presque perdue. Il l’avait presque envoyée loin de lui et se serait privé non seulement du plaisir de sa compagnie, mais aussi de la solution pour faire perdurer son espèce.

— Je veux le dire à ma mère, dit-elle en se redressant, les yeux brillants.

Il rit.

— Tu m’étonnes, dit-il, puis il la fit se lever de ses genoux et la posa par terre. Allons lui annoncer la nouvelle. Est-ce qu’elle sera contente ?

Leora avait été chaleureuse envers lui après ses retrouvailles avec Lamira, mais il ne savait pas vraiment ce qu’elle pensait du rôle de sa fille en tant que reproductrice.

Lamira enfila une jupe et un chemisier qui épousait ses seins d’une manière on ne pouvait plus séduisante.

— Elle sera ravie. Elle a dit… commença Lamira en s’étouffant, les yeux bordés de larmes à nouveau, que nos enfants auront un bien meilleur départ que ma sœur et moi. Elle sait qu’il y a encore des batailles à mener, mais elle est optimiste.

Lamira cligna rapidement des yeux et entrelaça ses doigts avec les siens.

— Moi aussi, ajouta-t-elle.

Zander sentit sa poitrine sur le point d’éclater.

— Moi aussi, murmura-t-il d’une voix rauque et il serra sa main.

Ils quittèrent sa chambre et marchèrent ensemble dans le couloir, comme des compagnons.

Oui, son avenir et celui de son espèce n’avaient jamais semblé aussi radieux.

bsabold

  • Facebook
  • Instagram
  • Pinterest
  • X
  • Amazon

bsabold

Newsletter signup

Sign up to receive my new release newsletter and download Theirs to Punish and 5 other books for FREE!

Please wait...

Thank you for sign up!

© Copyright 2025 RENEE ROSE®
Wilrose Dream Ventures, LLC
USA Today Bestselling Author